Les 20 Kilomètres de Paris 2017
Histoire de récupérer du Marathon Run In Lyon, un petit tour dans la capitale pour Les 20 Kilomètres de Paris c’est pas mal non ? Après la bande dessinée en 2016, cette 39ème édition est sous le thème du street art et aura vu passer 25935 coureurs sous son arche d’arrivée. Encore un gros moment d’efforts et de fun partagé avec les copains !
Before the race
C’est le jeudi soir que je débarque sur Paris accueilli par l’ami Charles-Henry alias Charly Tracks qui m’héberge. La nuit est plus que courte car, dans la journée, on m’a proposé d’aller essayer la cryothérapie. J’ai pris rendez-vous le matin et c’est pas à côté. Ça commence bien pour le chargement de la jauge de fatigue 😆
Après ce petit coup de froid, direction le village de la course pour retirer nos dossards et dire bonjour à droite à gauche. Le lendemain je retourne sur place mais pour bosser toute la journée sur le stand Accessoires Running. Oui tu la sens encore la grosse nuit de sommeil ? Bah moi pas en fait !
Dans la journée j’aurais eu le plaisir de voir passer quelques copains dont certains avec qui je prendrais le départ le lendemain. Départ dans le sas 1h45 et pour lequel je cale un petit rendez-vous via les réseaux pour les intéressés. Ce qui nous amène justement, après une dernière courte nuit, au point de ralliement fixé près des consignes…
Les 20 Kilomètres de Paris 2017
La team qui va bien
C’est avec Charly et Djodei que je me cale en mode attente sur ce passage piéton. D’ailleurs le Charly il est blessé. Alors, pour participer et faire quelques images, il a eu l’idée de louer un gyropode. Tu sais l’espèce de planche à roulettes électrique.
Très vite arrivent Sonia et Franck de la Triplex Team qui auront aussi été mes acolytes de Lyon. Miss Cam Dewoods passe par là en mode pas bien réveillée et s’esquive pour récupérer une amie dans le stade. Soit disant qu’après on ne l’a pas attendu…
Yohann Dos Santos, le “Gouverneur” de la Team Smart se pointe avec sa chère et tendre et une amie. Plus calme que d’habitude le bestiau, on s’insulte à peine.
Un mec immense avec un bonnet et une petite nana en rose s’approchent. Il s’agit de Pierre et Marion, des abonnés de la chaîne, ça fait plaisir 😉
Mylène et Tiphaine ont gagné leurs dossards ici même sur le blog et, comme moi, ont fait le déplacement depuis La Rochelle. Elles se joignent également à nous.
Juste avant de nous diriger vers le sas arrivent Nicolas et Emilie. Ça en fait du monde tout ça ! On en perdra rapidement 2 ou 3 qui avaient rencard avec 2 ou 3 autres qui eux mêmes en rejoignaient 2 ou 3 autres un poil plus loin… Ça va tu suis ?
Dans le sas
Pour accéder au sas c’est encore bien le bordel. Le 1h45 est sûrement l’un des plus rempli. Jérémy nous attend après le 1er contrôle de sécurité. Au loin nous entendons Steve Kondo commencer à ambiancer tout ça.
La veille au soir je lui ai envoyé un petit message pour lui dire d’être en forme. Il est perché sur son podium et nous nous mettons en file indienne pour nous frayer un chemin jusqu’à lui au travers la foule. J’avance à base de “Excusez nous”, “Pardon”… Nous sommes une bonne dizaine de personnes et je suis sûr qu’on ne s’est pas fait que des copains pendant l’opération 😆
Steve ne nous a pas encore vu, j’arrive face à l’escalier et commence à y monter. Les autres suivent. Surprise !! Un moment de ouf que notre ami speaker aura apprécié autant que nous. L’occasion faire quelques selfies uniques et de se demander si la structure n’allait pas s’effondrer… Ça bouge un chouille quand-même… Faudra prévoir plus costaud l’an prochain hein !
Bon allez, c’est bien de faire un peu les cons mais on est quand même censés aller courir. On redescend et direction la ligne de départ. Pendant ce temps, Émir des Lapins Runners m’appelle pour savoir où nous sommes. Nos amis aux grandes oreilles arrivent à peine à l’entrée du sas donc c’est loupé pour courir ensemble.
C’est parti !
Depuis le Pont d’Iéna nous entendons les coureurs qui nous précèdent être lachés par vagues. En attendant notre tour nous continuons à déconner tranquillement et Charly recherche désepérément une carte mémoire pour sa caméra. Heureusement que j’ai toujours du matos de rechange sur moi. Au moins c’est bien, les potes ne tombent pas tous en galère en même temps et font chacun leur tour 😆
Le compte à rebours sous l’arche affiche 02:34, c’est bientôt à nous. Florent Manaudou est sur le toit de l’estrade avec les officiels. Les filles sont comme des folles à lui faire coucou. À force d’assister elles arrivent à avoir une réponse. Il était temps parce que c’est l’heure !
Histoire de réussir à rester groupé j’avais proposé qu’on se cale sur la gauche de la route… Bon bah on s’est mis à droite… mais on a quand même réussi à tous se retrouver rapidement.
Charly fonce avec ses roulettes en poussant des cris de joies et ça fait bien marrer tout le monde. Il aura aussi droit tout le long de la course à des “tricheur !!!”, normal quoi 😉
Déjà pas mal de gens sur le bord pour nous encourager et je croise Julie, une des “chattes” de Lyon.
Après un bon faux plat montant, petite vue sur l’Arc de Triomphe qu’on reverra à peine plus loin sur fond de bignou.
Ça roule…
…ou pas. Vers le 3ème kilomètre, sur l’avenue Foch, Charly prend de la vitesse et se viande comme une merde, oui oui vraiment comme une merde. Son engin continue tout droit, sa caméra part dans un sens, son téléphone dans l’autre, lui glisse misérablement sur le bitume. Nous, en bons potes qui se respectent, on éclate de rire ! Bon, ok, j’ai eu un peu peur pour lui quand même mais le voilà qui se relève de suite et sans bobo.
Hop un grand graff est exposé sur le trottoir, la déco correspond bien au thème. J’en aurais vu un autre en fin de course, dommage qu’il n’y en ai pas eu plus.
On croise encore des spots musicaux, c’est qu’il y en a un paquet sur le parcours. Ça donne le rythme, ça remotive, c’est top !
Dans le Bois de Boulogne, au 5ème, je m’attends à trouver le ravito et en fait non… Il faudra attendre 1km de plus pour s’abreuver un peu. Pour becter, il n’y a que du végétal… Mouais pas mon délire. À quand du chocolat, des tuc ou des merguez ?
D’ailleurs le tracé dans le bois est différent de l’an passé ainsi que le retour dans Paris avec un passage vers Roland Garros. Ça me rappelle des souvenirs du Marathon de Paris 2016 où, là, je commençais à être un fucking zombie 😀
Un nouveau petit coup à boire au 10ème avec marqué “St-Yorre” partout mais pas l’ombre d’une bouteille d’eau gazeuse… Faudra attendre la fin… Et puis nous voilà sur les quais de Seine avec au loin, la Tour Eiffel.
C’est un peu dur quand même
Je ne suis pas au top. Des restes du marathon de Lyon ? Sûrement, du moins en ce qui concerne mon pied gauche avec sa petite tendinite des releveurs. Un trop de fatigue, un manque d’hydratation ? Ça c’est certain !
Jusqu’au 15ème je ne suis pas top top mais après m’être enfilé une bouteille d’eau ça va beaucoup mieux !
Le groupe s’était déjà un peu disloqué. Le rythme était un peu rapide pour la Triplex Team puis Nico et Emilie se sont envolés. Là ce sont les filles qui disparaissent. On les croit derrière alors on passe en mode trail en sortie de tunnel, on marche quoi. Faut dire que ça grimpe 😆 Plus tard on apprendra qu’elles étaient devant.
17ème, on passe sur le Pont Royal pour entamer le retour. Allez, plus qu’une grosse quinzaine de minutes !
Encore un podium
Toujours du monde pour nous encourager, surtout une fois remontés des quais pour les derniers mètres.
Nous passons la ligne en 1h57. Merde ! Objectif loupé ! On avait dit plus de 2 heures… trop rapides… Pas grave on monte sur le podium quand même, enfin celui d’Harry et Pierre, les speakers. Décidément aujourd’hui on ne reste pas discrets… Les autres fois non plus tu me diras…
Bref, on retrouve tous les potes, on se fait quelques photos et on va chercher nos médailles. C’est qu’il est bien joli le collier en plus. Par contre pour sortir de la zone c’est un bordel pas possible. Pas de doutes, nous sommes à Paris, ça bouche… Faut dire qu’avec les gens qui stagnent en plein milieu ça aide pas…
Pour finir on passe vite fait dans le stade histoire de revoir Steve pendant qu’une nana dispense une séance d’étirements. C’est Tatiana et elle connait Djo. Hop elle l’invite à monter sur scène pour quelques exercices. Belle barre de rire mais on ne s’attarde pas trop, on a la dalle.
14h30, la pizzeria a fermé ses cuisines, on fini dans un kebab à 8 balles et en plus pas bon. La loose de fin d’épisode quoi 😀
C’était top !
Allez, malgré cette mésaventure culinaire c’est quand même une matinée exceptionnelle que nous avons passé ! Il aurait juste manqué un brin de soleil pour ramener de plus belles images mais sinon c’était l’éclate.
Une belle bande de fous, un parcours bien animé et ça le fait bien ! Reste que les ravitos sont trop healthy pour moi mais bon… Faut bien que je râle sur un truc non ?
Hâte de voir le thème de l’édition 2018 et j’espère qu’on pourra remettre ça tous ensemble. Et toi, tu voudras te joindre à nous ?
Mon équipement pour Les 20 Kilomètres de Paris
- Montre Garmin Fenix 3 HR
- T-shirt Inverse
- Gilet coupe-vent Cimalp Skin Vest (Code parrainage : 104186311)
- Gilet d’hydratation Kinetik Rocket
- Ceinture porte-dossard Fitletic
- Boxer Saxx Kinetic
- Cuissard Skins A400
- Manchons Cimalp Perform 2 (Code parrainage : 104186311)
- Chaussettes LCF Alberta
- Chaussures Altra Torin 3.0
- Lacets Xtenex
- Caméra Olympus Tough TG-Tracker
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