Knog Blinder 1300 : Compacte et puissante mais pas sans défauts
Qu’on aime faire du vélo de nuit ou non, avec l’arrivée de l’hiver, le changement d’heure et compagnie, la durée d’obscurité rallonge et avoir une bonne lampe me semble impératif. Car, même si on part de jour, nous ne sommes pas à l’abri de rentrer de nuit suite à une crevaison, une pause café allongée ou je ne sais quoi.
Bref ! Un éclairage avant de qualité assure de la tranquillité pour les balades, les entraînements et le vélotaf.
La marque australienne Knog a récemment sorti un trio de lampes : les Blinder 600, 900 et 1300. C’est cette dernière version que j’ai pu essayer et je dois dire que j’ai été agréablement surpris par la qualité de l’éclairage ! Dommage qu’elle ait quelques défauts.
Compacte et qualitative
Cette Blinder 1300 est, je trouve, vraiment compacte. Surtout, lors de la première prise en main, c’est la qualité de fabrication que j’ai pu apprécier. Majoritairement en alu, c’est vraiment un beau morceau. Seul son revêtement noir semble fragile.
Fournie avec 2 supports, un pour le cintre et un avec griffe type GoPro pour aller sous un support de compteur, elle peut se fixer dans un sens ou dans l’autre pour que le bouton soit toujours bien positionné.
Elle se recharge en USB-C, offre 8h d’autonomie au premier niveau de puissance (230 lumens) mais seulement 1h30 au max (1300 lumens). On retrouve également un niveau intermédiaire et 3 modes clignotants qui sont, je le rappelle, interdits d’usage en France.
La puissance ne fait pas tout
Si j’étais à peu près sûr d’avoir une bonne vision avec la lampe réglée sur 1300 lumens, j’étais plus sur la réserve concernant le mode plus le faible. Mais voilà ! Au delà de la puissance indiquée, la température d’éclairage, la focalisation du faisceau… font qu’on a quelque chose de plus ou moins bien.
Dans le cas de cette Blinder 1300 je ne peux qu’admettre que, même à 230 lumens, on y voit vraiment bien.
Pour avoir un avis plus complet et mieux vous rendre de compte de ce qu’elle donne en action, je vous invite à regarder ma vidéo de test.
Ce qui fait tâche
Pour moi il y a 2 gros points noirs au sujet de cette lampe avant pour vélo :
- Il n’est pas possible de la recharger et de l’utiliser en même temps. Cela aurait vraiment résolu le problème de l’autonomie un peu faible à pleine puissance.
- Il n’est pas possible de personnaliser les modes d’éclairage via le logiciel Knog Modemaker que j’avais découvert en testant un éclairage arrière de la marque.
Et puis un petit truc commun à beaucoup de lampes : il n’y a qu’un seul bouton pour switcher entre les modes. J’aimerais mieux un système +/- pour passer d’un mode à l’autre plus rapidement et sans avoir à boucler.
Mon test de la Knog Blinder 1300 en vidéo
Derniers commentaires