Le tubeless ça vaut quoi ? Retour sur 1 an d’expérience !
C’est sûrement une des premières craintes de tout cycliste ! La crevaison ! Eh oui, on ne peut pas dire qu’il soit très agréable de sentir son pneu à plat, de devoir interrompre sa sortie pour finir sur le bord de la route à bricoler sa roue pour pouvoir repartir.
Alors OK ! Changer une chambre à air n’a rien de sorcier et on ne crève pas toutes les 5 minutes (enfin y’en a à qui ça arrive 😆 ). Mais, si on pouvait crever et continuer de rouler sans s’en rendre compte ce serait pas plus mal non ?
C’est là qu’intervient le tubeless, enfin surtout le liquide préventif qu’on utilise pour ce système ! Un système que j’ai découvert en changeant de vélo et avec lequel j’ai eu un mauvais début de relation. Mais voilà, j’ai voulu pousser l’expérience ! De nombreuses personnes ne jurent que par lui quand d’autres le rejettent totalement. Je me devais de faire ma propre expérience !
Jusqu’à la carcasse
Au cours des 12 derniers mois j’aurais eu dans mes roues 3 liquides préventifs différents et utilisé 3 jeux de pneus. Pour le dernier d’entre eux, j’ai poussé les essais jusqu’à voir apparaître la carcasse de celui monté à l’arrière.
Je vous le dis de suite, ces pneus étaient des Hutchinson Overide dans lesquels j’ai injecté du liquide Stan’s Notubes. Une combinaison qui aura fonctionné sur 4300km. Mais, ai-je crevé au cours de ces nombreuses sorties ? La réponse est dans la vidéo ci-dessous !
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